Rapports de nos partenaires

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Publié le :07 septembre 2011
Mis à jour le :04 décembre 2023

Accueil, information, orientation et évaluation des besoins... Face au vieillissement de la population la majorité des départements ont fait le choix d’une direction administrative commune de l’action sociale au service des personnes handicapées et des personnes âgées en perte d’autonomie ; la moitié d’entre eux souhaitent mutualiser les moyens, un nombre croissant élabore un schéma départemental unique pour les deux populations...
On retrouve ces informations dans les Cahiers de l’ODAS que publie l’Observatoire national de l’action sociale décentralisé, avec le soutien de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) et de la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS).
L’enquête quantitative sur toutes les formes que revêt cette convergence, a été menée en 2010 auprès de quatre-vingt-dix-neuf départements.

Publié le :31 mai 2011
Mis à jour le :30 mars 2015

Ce rapport dresse une cartographie dynamique des ressources existantes sur les handicaps rares dans l’interrégion Grand-Est.

Publié le :11 avril 2011
Mis à jour le :01 avril 2015

Le Conseil général de la Dordogne a décidé d’expérimenter le Système de mesure de l’autonomie fonctionnelle (SMAF) comme outil d’évaluation commun au secteur gérontologique et à celui du handicap.
Dans le cadre de ses missions d’études et de recherche dans le champ de la perte d’autonomie et, plus particulièrement, de l’évaluation individuelle des besoins des personnes âgées et des personnes handicapées pour laquelle elle soutient plusieurs autres travaux, la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie a apporté son appui à cette expérimentation. Sa subvention représente les deux tiers du montant total du projet, soit 500 000 euros, le tiers restant étant financé par le Conseil général.

Publié le :31 mars 2011
Mis à jour le :01 avril 2015

Cette étude, financée par la Direction générale de la santé et la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie, est le résultat d’une collaboration entre l’Association nationale des Centres de ressources autisme (Ancra), l’Association nationale des Creai (Ancreai), le Centre de ressources autisme du Languedoc-Roussillon et l’Observatoire régional de la santé du Languedoc- Roussillon.

L’objectif de cette enquête, qui répond à la mesure 28 du plan autisme 2008-2010, est de faire un état des lieux des pratiques d’intervention à destination des personnes avec troubles envahissant du développement (TED), dans le champ médico-social, sanitaire et scolaire, ainsi que de recueillir l’opinion et le degré de satisfaction des familles et des usagers avec TED. Cette enquête s’est déroulée dans trois régions : la Franche-Comté, deux départements de l’Île-de-France (Seine et Marne et Seine St Denis), et une partie du Nord - Pas-de-Calais (métropole lilloise et littoral).

Aides techniques et fauteuils roulants, les restants à charge pour les familles. Christophe Duguet (AFM)  (PDF, 208.81 Ko)

Analyse du restant à charge pour les familles, réalisée à partir de 611 projets d’acquisitions d’une aide technique, pour des personnes atteintes de maladies neuromusculaires ayant bénéficié d’une intervention de l’AFM sous forme d’une avance financière ou d’une aide (avril 2006 à début juillet 2010).

Publié le :01 mars 2011
Mis à jour le :18 mars 2015

La nécessité de disposer d’une meilleure connaissance de l’offre de services proposés aux personnes atteintes de troubles envahissants du développement a conduit la DGS, la DGCS et la CNSA à solliciter une étude descriptive des pratiques de leur accompagnement.
Cette demande s’inscrit dans le contexte particulier du plan Autisme 2008-2010, et plus précisément de la mesure 28 du plan.

Publié le :26 octobre 2010
Mis à jour le :28 mai 2018

Avec le soutien de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA), AIDES vient de publier un guide pour accompagner les personnes touchées par le VIH et/ou une hépatite virale dans la constitution d’un dossier de demandes auprès de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH).

Publié le :04 mai 2010
Mis à jour le :01 avril 2015

La CNSA a publié en mai 2010 les résultats d’une étude sur le recours à la téléassistance pour le maintien à domicile. Cette étude, financée par la CNSA, a été menée par des enseignants-chercheurs de l’École polytechnique ParisTech et de l’École des Mines de Nantes.

Elle identifie les conditions à réunir pour une utilisation de la téléassistance pertinente et en accord avec les besoins des personnes âgées, de leur famille, des aidants, des services sociaux et des services d’urgence. Face à une demande qui se complexifie (les usagers et leur entourage activent de plus en plus souvent la téléassistance pour un autre motif qu’une situation d’urgence), Florence Charue-Duboc, Laure Amar, Nathalie Raulet-Croset et Anne-France Kogan font ainsi apparaitre quatre conditions de réussite :

  •   S’appuyer sur le réseau de solidarité de la personne âgée pour proposer un service de qualité (ne pas solliciter les secours d’urgence inutilement, ne pas fracturer une porte d’entrée, faire les choix les plus opportuns en fonction du suivi médical de la personne et des intervenants qui la visitent) et le maintenir.
  •   Mobiliser les compétences médicales (services d’urgence ou médecins traitants) à bon escient, en fonction de leur disponibilité et selon les territoires.
  •   Encourager l’usage récurrent du dispositif de téléassistance pour que, le moment venu, la personne pense et sache s’en servir.
  •   Recourir à des téléopérateurs compétents qui doivent, qualifier les appels, « faire faire » à distance, mais aussi rassurer et savoir créer une interaction avec la personne.
  • L’étude fait également état des tensions auxquelles sont soumis les opérateurs de téléassistance : ils se positionnent en effet à l’intersection des services à la personne et du secteur médical ; ils doivent être aptes à créer - à distance - une certaine proximité avec l’usager pour que le dispositif s’adapte à une variété de situations imprévues et ils ont à concilier la nécessité de standardiser, pour rendre le service à grande échelle et celle de prendre en compte les singularités de la personne âgée.
  • Enfin, cette recherche souligne la valeur de la téléassistance et les développements envisageables :
  •   La téléassistance est créatrice de lien : elle permet de consolider le réseau de proximité autour de la personne en l’identifiant, en le sollicitant, en lui donnant des informations utiles face aux situations et aussi en le ménageant. Elle a également ce rôle vis-à-vis de la famille.
  •   Les opérateurs de téléassistance ont conscience de leur responsabilité à l’égard d’une population fragile. Le dispositif de téléassistance conjugue donc une fonction réactive à une fonction préventive consistant à inciter une personne âgée à consulter son médecin traitant ou encore à repérer la dégradation de son état général grâce à la fréquence ou à la nature de ses appels et tenter d’y apporter une réponse.
  •   Utilisées de manière plus systématique, les données recueillies par les plateformes de téléassistance pourraient permettre de déceler à plus long terme des difficultés rencontrées par les personnes âgées, qu’elles soient d’ordre sanitaire ou social. Cette étude s’est déroulée sur 18 mois. Les chercheurs se sont appuyés sur deux méthodologies de travail : une série d’entretiens auprès des différents acteurs contribuant au déploiement de la téléassistance (opérateurs, services de l’État et des collectivités locales, services à la personne, fabricants de matériel) et des observations sur les plateaux téléphoniques de deux opérateurs pour mieux comprendre les usages des personnes âgées, caractériser l’activité des opératrices et mettre en évidence les pré-requis de la mise en œuvre de ce service.
La téléassistance pour le maintien à domicile. Florence Charue-Duboc, Laure Amar, Anne-France Kogan, Nathalie Raulet-Croset (PDF, 559.81 Ko)

Cette recherche menée par l’Ecole polytechnique et l’Ecole des mines de Nantes s’articule autour de six axes : l’usage normal et les « usages réels » ; le métier et les compétences des téléopératrices ; les modalités de gestion de la proximité, les liens entre téléassistance et le médical ; la valeur de la téléassistance et enfin la responsabilité sociale.

Publié le :30 avril 2010
Mis à jour le :01 avril 2015

Le N° 74 (juin 2008) de Pluriels, Lettre de la mission nationale d’appui en santé mentale, intitulé « La CNSA et le handicap psychique » présente les interventions et le rôle de la CNSA en matière de handicap psychique.
Le N° 81 (avril 2010) poursuit cette collaboration éditoriale.
Mise en place en 1993 la mission Nationale d’Appui en Santé Mentale (MNASM) contribue à l’évolution des dispositifs de santé mentale. Elle est constituée d’une équipe pluriprofessionnelle de membres permanents et d’une quarantaine de correspondants travaillant dans le champ de la psychiatrie dans les établissements de l’ensemble du pays.

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